Les problématiques de la médecine généraliste.

Publié le par Hervé Zacharie

Les problématiques de la médecine généraliste.

Le secteur de la médecine générale s’accroit jour après jour car les connaissances de la médecine s’enrichissent tous les ans. Par contre, en raison de cette même expansion des connaissances, son domaine d’action resserre étant donné qu’il faut de plus en plus de spécialistes pour conquérir des savoir faire et des conceptions de plus en plus compliqués. Désormais, la médecine généraliste moderne joue un rôle différent. Il se doit d’être attentif vis-à-vis de ses malades, de manière à les aider à déterminer leurs douleurs et à ce que le médecin puisse connaitre quel examen faire ou spécialiste le conseiller. Bien que sa pratique diminue au fil des ans, les connaissances en matière de médecine générale, eux, ils augmentent.

Comment classifier les maladies générales?

On dit qu’une maladie est générale quand elle concerne les organes sans que l’on puisse l’attribuer à une spécialité plutôt qu’à une autre. C’est pourquoi le nombre de maladies spécifiques à la médecine générale est moins important même si le médecin généraliste soit tout à fait capable de traiter des maladies qui sont classées dans le domaine d’une spécialité. Tel est le cas de l’otite, le généraliste peut facilement soigner cette maladie bien qu’elle reste une maladie ORL. Bref, il existe des symptômes quasiment classés en médecine générale et d’autres classées par spécialité.

Qu’est ce qu’on entend par symptôme et maladie ?

L’un des problèmes majeurs qu’on rencontre dans la médecine générale c’est la confusion entre symptôme et maladie. En effet, on a tendance à confondre une appendicite et un mal de ventre du côté droit ou un infarctus et une douleur dans la poitrine. C’est la raison pour laquelle, tout symptôme est à priori de la compétence du médecin générale. C’est grâce à l’intervention d’un généraliste, comme le cas d’Hervé Zacharie, que l’on peut discerner un mobile qui, dans le cas d’une douleur thoracique, n’est autre qu’une maladie cardiaque ou digestive ou pulmonaire.

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